Noir

À travers un dédale peu éclairé ou une immensité de parkings déserts, une succession de rencontres qui révèle peu à peu une histoire de corruption et de trafics conduisant à deux cadavres et à un flic au bout du rouleau.

Neuf personnages risibles, inquiétants, pathétiques ou hallucinés que la peur, le mensonge ou la nuit réunissent.
Un récit éclaté, rapide et dense qui se saisit des espaces, nous y promène et nous y perd.

La précision d'une mise en action et en lumière repensée et retravaillée, sur place, pour chaque véhicule et chacun des interprètes.

Un constat sur la noirceur propre à notre époque dont l'inscription dans le paysage urbain renforce la justesse et crée, par instants, une confrontation prenante, à la lisière entre fiction et réalité.


 

Coproduction Le Parapluie (Centre International de Création Artistique) - Aurillac / Les Pronomade(s) en Haute Garonne (CNAR) /  L'Avant-Scène Cognac (CNAR) / La Rampe – Echirolles (Scène régionale Rhône-Alpes)
Accueil en résidence Le Parapluie – Aurillac/ L'Avant-Scène Cognac / La Paperie - Jo Bithume, Angers / La Ville de Cusset.
Avec l’aide du Ministère de la Culture (DMDTS), DRAC Rhône-Alpes, Conseil Régional Rhône-Alpes, Conseil Général de la Drôme.

La Montagne - Aurillac le 16 août 2006
NOIR se révèle très noir pour les spectateurs.

Dans le secret de Delices DADA

(...) Classique comme scénario, que nenni ! La mise en scène est remarquable, les textes, surprenants et l’action, bien réelle. Si les spectateurs s’interrogent longuement sur l’enchaînement des scènes, tout leur paraît comme évidence dans les derniers instants.


 

Le Courrier de l'ouest
Les Accroche-Cœurs à Angers le 9 septembre 2006

(...) Bourrée d’humour noir, la pièce de Delices DADA vaut surtout par son interprétation remarquable et l’effet de surprise qu’elle maintient jusqu’au bout.


 

Stradda Octobre 2006

(...) Avec un art éprouvé du récit et une approche quasi-clinique du suspense, ils enchaînent sept scènes extravagantes ou inquiétantes, parsemées d’indices et de traits d’esprits.
Non pas pour nous expliquer le monde d’aujourd’hui mais pour le décrypter.
Thierry Voisin